«S'il est vrai que les circonstances et les préjugés
décident souvent du sort d'un ouvrage, jamais auteur n'a dû plus
craindre que moi. Le public est aujourd'hui si indisposé contre tout ce
qui s'ap-pelle nouveauté, si rebuté de systèmes et de
projets, surtout en fait de musique, qu'il n'est plus guère possible de
lui rien offrir en ce genre, sans s'exposer à l'effet de ses premiers
mouvements, c'est-à-dire à se voir condamné sans
être entendu» (Rousseau 1743, viii, p. 235 dell'ed.
in 4°).
All'origine di tanto rumore fu la rappresentazione, nella stessa
soirée parigina del 1° agosto 1752, de La serva
padrona di Pergolesi e di Acis et Galatée di Lully. Di qui il
fronteggiarsi di due fazioni musicali, superficialmente filo-francesi contro
filo-italiani. Come è ovvio, tale querelle si manifestò a
diverse profondità: si va dunque dal modaiolo allo scavo filosofico di
Rousseau e Rameau. Sulla Querelle v. il contributo di
Jean-Marc
Warszawski.
Les consolations des misères de ma vie è il titolo,
calzante seppure spurio, della raccolta postuma delle arie che Rousseau
amò comporre e cantare per il proprio diletto durante tutta la sua vita,
e specialmente negli ultimi anni a Ermenonville.
«Il paroît étonnant que les signes de la Musique
étant restés aussi long-tems dans l'état d'imper-fection
où nous les voyons encore aujourd'hui, la difficulté de
l'apprendre n'ait pas averti le public que c'etoit la faute des caracteres
& non pas celle de l'art» (Rousseau 1743, viii, p. 217
dell'ed. in 4°)
La
Cyclopaedia, or An universal dictionary of arts and sciences è
pubblicata nel 1728 a Londra da Ephraim Chambers, in due volumi in
folio. È una delle prime opere di questo tipo, molto dettagliata pur
non includendo voci di storia, geografia o biografie. Una traduzione in
francese fu iniziata da Mills, il quale venne esautorato dall'editore Le Breton
che affidò il progetto a Diderot e d'Alembert nel 1743.
«Le premier qui a guide M. Rameau dans tous tes ecrits, & , qui pis
est, dans toute sa Musique, est que l'harmonie est l'unique fondement de l'Art,
que la mélodie en dérive, & que tous les grands effets de la
Musique naissent de la seule harmonie. L'autre principe, nouvellement avance
par M. Rameau, & qu'il me reproche de n'avoir pas ajoute a ma
définition de l'accompagnement , est que cet accompagnement
représente le corps sonore» (Rousseau 1755a, viii,
p. 518 dell'ed. in 4°).
«... les Français n'ont point de musique et n'en peuvent avoir
[
] et si jamais ils en ont une, ce sera tant pis pour eux»
(Rousseau 1753a, viii, p. 494 dell'ed. in 4°).
Enrico Fubini, Musica e cultura nel Settecento europeo, Torino:
Edt, 1986, p. 15.
«par une suite de son inutilité mêmes, le
Théâtre, qui peut rien pour corriger les murs, beaucoup pour
les altérer» (Rousseau 1758, vi, p. 494 dell'ed. in
4°).
Horace Coignet, (1736-1821), violinista e compositore dilettante di Lione.
Oltre al Pygmalion si è a conoscenza della composizione di
un'opera comica (Le Médecin de l'amour) e di una Ouverture,
entrambe perdute.
«Les deux pièces qui suivent ne sont que des fragments d'un
ouvrage que M. Rousseau n'acheva point. Il donna son manuscrit, presque
indéchiffrable, à M. Prévost, de l'Académie royale
des Sciences et Belles-Lettres de Berlin, qui a bien voulu nous le remettre. Il
y a joint la copie qu'il eu fit lui-même sous les yeux de M. Rousseau,
qui la corrigea de sa main, et distribua ces fragments dans l'ordre où
nous les donnons. M. Prévost, connu du public par une excellente
traduction de I'Oreste d'Euripide, a suppléé, dans les
Observations sur l'Alceste, quelques passages dont le sens était
resté suspendu, et qui ne semblaient point se lier avec le reste du
discours. Nous avons fait écrire ces passages en italique: sans cette
précaution, il aurait été difficile de les distinguer du
texte de M. Rousseau» (Rousseau 1776, viii, p. 542 dell'ed.
in 4°).
Il
balletto
Les Muses
Galantes, ad esempio, fu in parte apprezzato e fu il primo caso di
scontro diretto tra Rousseau e Rameau, prima ancora delle ostilità
relative alla Querelle des Bouffons.
Richard Wagner, Oper und Drama, traduzione a cura di Luigi Torchi,
Torino-Milano: Bocca, 1894,
21929,
31939.